En ce week-end et avant de recevoir l’un des musiciens qui œuvré sur la série, on vous donne 3 raisons de redécouvrir la série Fame.
Fame C’est d’abord un film d’Alan Parker, sorti en 1980 et porté par une bande son revigorante qui vous donnant instantanément l’envie de vous sublimer. Mais voici pourquoi en 3 points on vous conseille de vous refaire Fame !
Point numéro 1
Pour le message sous-jacent de la série car Fame, c’est une réflexion sur l’art, le spectacle et la célébrité, une série chorale enthousiasmante où une bande son exceptionnelle côtoie une plongée au cœur d’une école d’art et spectacle de New-York. Reflet des doutes et des rêves de gloire qui escortent des jeunes gens en devenir, Fame, la série dépeint une jeunesse à la sensibilité exacerbée prêt à tous les sacrifices pour réussir, mais sans se douter qu’il faudra aller encore plus loin pour dépasser les chausse trappes et autres obstacles qui se dresseront devant eux. Comme dans le film Fame montre également comment l’équipe pédagogique tente d’aider les étudiants à se transcender pour faire face à un miroir aux alouettes prêt à les avaler et dresse ainsi parallèlement aux élèves, le portrait de quelques professeurs à la fois durs et prêts à accompagner cette jeunesse vers leur accomplissement. Fame est une série qui parle à toutes les générations et qui les relient par la mise en valeur de la danse, du jeu ou du chant.
Point numéro 2
Pour les personnages auxquels on s’est forcément attachés et identifiés et dont on en retrouve certains déjà présents dans le film, comme celui de Leroy interprété par Gene Anthony Ray ou Bruno auquel Lee Curreri prête ses traits. Mais s’il fallait n’en garder qu’un, le personnage de Leroy est certainement le catalyseur et l’esprit de la série. Aussi indiscipliné, rebelle et malheureux dans la vie que libre et aérien lorsqu’il se laisse aller à danser. Ses relations conflictuelles avec la prof de danse Lydia Grant jouée par Debbie Allen seront au centre de nombreux épisodes. Mais chacun des élèves représente une facette du rêve américain et de la volonté, voire de la douleur qu’il faut donner pour y accéder. Le succès de la série est à n’en pas douter également dû au cocktail réussi de tranches de vie dans lesquelles le public se reconnaît et de numéros musicaux et/ou chorégraphies emballantes qui ponctuent chacun des épisodes et en font une très belle série
Point numéro 3
La suite dans le podcast …
Pour écouter nos émissions sur Deezer, ça se passe ici
Dispos aussi sur Apple Podcast et Podcast Addict
Pour rejoindre le Twitter de La loi des séries, ça se passe ici
Pour rejoindre la page Facebook de La loi des séries, ça se passe ici