« Fédérer, accélérer, rayonner » : ces trois mots raisonnent dans une initiative lancée par l’Etat. Auto-définie comme « une ambition collective des start-ups françaises », la French Tech pourrait aussi être qualifiée de mouvement de promotion de jeunes entreprises françaises. Le but ultime ? Redorer le blason de l’entreprise française dans le monde. Cocorico !
Dans une France qui n’en finit pas de mettre à mal l’entreprenariat, la French Tech, portée par le ministère de l’économie, cherche à faire mentir l’idée communément admise selon laquelle il est devenu impossible d’entreprendre en France. Dans une optique d’accompagnement plutôt que d’encadrement, l’Etat français investit de plus en plus dans ses jeunes talents, à hauteur de plus de 200 millions d’euros par an.
Si la France ne joue pas encore dans la même Ligue que des innovateurs géants comme les Etats-Unis qui déposent des brevets à tour de bras, la French Tech entend bien rattraper son retard.
Qu’en est-il de la réalité ?
Quid des entreprises ? La French Tech représente-t-elle une véritable opportunité de développement pour elles ? L’Etat parait être le mieux placé pour booster le rayonnement des start-ups françaises à l’étranger. Pour répondre à ces questions, l’association ICP Junior Consulting propose une conférence sur la French Tech accompagnée d’un débat avec les principaux acteurs de l’initiative gouvernementale : les start-ups. Plusieurs CEOs seront de la partie pour échanger avec l’audience, dont Hugo Sallé de Chou, Président de Pumpkin.
La billetterie pour la conférence #FrenchTech @icpjunior est ouverte 🇫🇷 #startup @UnivCathoParis 👉🏻 https://t.co/pInvJTIqTJ
— ICP JuniorConsulting (@icpjunior) 20 février 2016
Pour assister à la conférence, il suffit de se rendre sur l’évènement Facebook dédié.