La sortie de Watch Dogs, un jeu au monde ouvert, appelé plus communément « sandbox » ou parfois GTA-Like montre un succès évident de ce style de jeu qui plait de plus en plus de par sa grande liberté d’action possible.
Les jeux en monde ouvert sont très divers dans le style, tantôt RPG, FPS, à la Minecraft ou bien GTA-Like ils ont tous cette particularité de laisser le joueur libre dans ses actions. Les joueurs apprécient la liberté d’action qui peut ressembler à un idéal vidéoludique mais cela peut gâcher une expérience de part une limitation du scénario derrière, peu de jeu arrive à allier monde ouvert et scénario solide.
Red Dead Redemption, les GTA ou bien certains RPG occidental arrivent à combiner les deux, le problème de la narration se pose très souvent. Comment laisser le joueur agir librement mais lui imposer une ligne scénaristique ? Très difficile à résoudre, une limitation soit de l’aire de jeu, soit du scénario est nécessaire on pense aussi à GTA 5 qui avait très déçu pour son scénario ou certains MMO qui se reposent plus sur le gameplay et l’interactivité entre les joueurs pour des raisons évidentes.
Ces deux éléments de game design sont donc très difficile à rassembler, et se présente comme un défi, une des raisons d’un nombre famélique de titre. Mais quand c’est réussi souvent avec un concept original, le succès est immédiat chez les gamers.
Se balader librement et pouvoir faire ce qu’on veut dans le far west, ou bien les rues d’un New-York refait, rien de plus jouissif. Ou mieux, partir à l’aventure dans un monde médieval fantastique où notre seule limite est l’aire de jeu.
Même l’apparition de jeu comme Minecraft plus dans une filière sandbox attise l’admiration des joueurs, avec une capacité de création infini et encore mieux, un monde ouvert généré aléatoirement.
Des jeux qui ne sont habituellement pas dans ce style de jeu adoptent ce virage, Metal Gear Solid 5 ou même le 3 proposent un itinéraire libre et un choix pour le joueur. Oui, le joueur veut avoir le choix et la liberté pour ne pas subir le jeu mais bien le vivre.