La mère de l’enfant a tourné une vidéo dans laquelle on pouvait voir son fils en pleure. C’est Quaden, une victime de harcèlement scolaire à bout. Il en vient même aux pensées suicidaire.
La vidéo a très rapidement fait le tour d’internet et est devenue virale. Des dizaines de milliers d’utilisateurs de réseaux sociaux ont été confronté à Quaden Bayles, ce jeune australien en pleure. Cela a déclenché une vague de soutient et d’affection pour l’enfant. La question du harcèlement scolaire est de nouveau un débat de société.
Une vidéo d’un enfant et d’une mère brisés
Durant la vidéo, madame Bayles confronte les personnes et l’institution qui étaient au courant des brimades de son fils. D’après elle malgré de nombreuses relance pour la « sensibilisation à la particularité de son fils », le problème restait. Ses camarades sont habitué et ne sont plus choqué par son nanisme. Mais lorsqu’un nouvel élève arrive, il a tendance à lui faire subir du harcèlement sous toutes ses formes.
Pour la mère, cette vidéo est son seul moyen de se faire entendre. En montrant directement l’état de son fils elle espère faire réagir les gens et dire que les campagne « anti-harcèlement » ne fonctionnent pas pour lui. Pour ce qui est des réactions c’est une réussite des milliers de partage de la vidéo dont certains de personnalités.
Des soutient internationaux pour Quaden
De Hugh Jackman en passant par Jeffrey Dean Morgan ou bien même Eric Trump, tous ont affirmé leur soutient au petit Quaden. Cela a eu un très fort impact et a contribué à faire de Quaden le porte étendard du harcèlement scolaire.
Certains ont même décidé d’aider financièrement la famille. Brad Williams, un comédien également atteint de nanisme a créé une cagnotte GoFundMe. Initialement elle était de 10 000 dollars et devait servir à emmener la famille à Disney. Mais avec la médiatisation de l’affaire, elle était déjà a plus de 260 000 ce vendredi 21.
Les mauvais côtés de la médiatisation
Certains ont été plus malveillant en créant par exemple une fausse cagnotte pour l’enfant. Elle a bien sûr été désactivée par le site mais est restée active un certain temps. En France, une tentative de récupération de l’affaire par Nadine Morano a également fait grincer des dents certains. Le côté insultant du tweet également.
Le cas de Quaden a permis de montrer une réalité que subissent tout les jours de nombreux enfants. Si son cas est médiatisé, ce n’est pas le cas de milliers d’autres. Se soudain regain d’intérêt envers le harcèlement scolaire pourrait déboucher sur une amélioration des conditions d’élèves victimes de se dernier.