Dans Plus belle la vie, plusieurs personnages sont frappés par un mal mystérieux, un virus qui semble venu d’Australie. Ce n’est pas une première dans la série ?
Un virus pour Halloween
C’est avec Laura que cette histoire terrifiante a commencé dans Plus belle la vie. Comme un mauvais conte d’Halloween, la jeune semble est victime d’un sort qui lui est jeté par un homme à qui elle a refusé un sandwich. Mais rapidement, le mal en question s’est déplacé à plusieurs autres personnes, comme sa sœur, puis Nisma ou Vadim. La situation est devenue tellement critique qu’un confinement de la Résidence Massalia a été décrété par les autorités. Le risque est grand car la piste la plus sérieuse est un virus hautement pathogène, mortel à 60% et qui aurait été ramené d’Australie via une amulette censée être porte-bonheur. Les choses vont s’avérer plus compliquée mais le flou reste total quant à la personnage qui serait impliquée et qui menacé Laura.

Le Mistral, important « cluster » ?
Comme on le rappelait plus haut, ce n’est pas la première fois qu’un virus frappe le quartier. Dès 2005, un virus mortel est lâché sur le quartier par Florent Barjac, le petit ami de Céline Frémont qui veut tester son vaccin avant de la commercialiser. La situation sera bientôt critique, le virus étant très mortel. On notera parmi les victimes la mère adoptive de Thomas; Carole et petite amie de Léo Castelli. C’est l’une des premières grosses tentatives complètement déjantées que la série se permet après un an de diffusion. Elle rencontre déjà un très grand succès après des débuts compliqués.
Seconde intrigue très avant-gardiste pour le coup. On est en 2019, soit un an avant que le COVID ne frappe le monde entier quand les auteurs imaginent cette histoire : un dangereux virus respiratoire venu de Chine par un voyageur frappe Marseille. Confinement et traitements sont alors imaginés par les auteurs de la série. Les épisodes sont tournés en 2020 et diffusés dès le 12 mars 2020 soit 5 jours avant le début du confinement. « On aime être en phase avec l’époque, mais là on se fait rattraper par l’actualité », raconte la directrice des fictions de journée à France Télévisions, Sophie Gigon à Ouest-France.
