Rencontre avec la jeune et talentueuse Emily Ruben, auteur du roman « I Was a Bitch », publié chez Inkitt. L’incroyable success story de cette passionnée d’écriture nous rappelle qu’on peut toujours aller au bout de ses rêves!
1. A 21 ans à peine, vous publiez votre 1er roman, comment vous est venue l’idée ?
J’écris de manière naturelle depuis l’âge de 8 ans. J’ai toujours aimé écrire mais n’avais jamais espéré en arriver là ! J’ai eu l’idée du titre de ce roman dans le bus en allant à la fac. Une fois que je tenais l’idée principale, j’ai mis 6 mois à dérouler l’histoire, chapitre après chapitre.
2. Quel est le pitch du livre?
En se réveillant d’un coma de 2 ans, Lacey Jones découvre à la fois qu’elle a été la terreur de son lycée et qu’elle était coincée dans un triangle amoureux. En tentant de se remémorer sa vie avant l’accident, Lacey est tiraillée et ne sait pas à qui faire confiance…
3. Emily, vous êtes française et pourtant vous n’écrivez qu’en anglais, pourquoi ?
A 16 ans, je me suis passionnée pour des films, séries et livres en anglais. Je suis passée à l’écriture en anglais naturellement, la langue exprimait plus facilement les idées que je souhaitais véhiculer.
4. Comment avez-vous réussi à percer et vous faire publier ?
Je me suis toujours intéressée à la lecture de livres sur la plateforme Wattpad et ai fini par y publier quelques écrits. J’ai ensuite participé à un concours sur Inkitt que j’ai remporté en 2016, le 1er prix était la publication de mon roman !
5. Que préparez-vous pour la suite?
Je continue mes études en AES (Administration Économique et Sociale) et prépare un 2e roman « The Bucket List »: une fille apprend que son meilleur ami n’a plus qu’un an à vivre et ils décident de passer ses derniers moments à fond.
Question bonus : entre nous, Lacey, votre héroïne, vous ressemble-t-elle ?
Oui, surtout la nouvelle Lacey, celle qui est un peu maladroite, qui aime les glaces, Youtube et la lecture. En revanche, je ne me vois pas du tout comme la Lacey bitchy !
Bilan :
On s’inspire d’Emily qui n’a jamais lâché son rêve de petite fille.
On lit « I Was a Bitch » pour le style et l’ambiance Gossip Girl du roman.
On fait des progrès en anglais tout en passant un excellent moment !