Kim Jong-un, le dirigeant suprême de la République populaire démocratique de Corée du Nord, serait entre la vie et la mort, suite à l’échec d’une opération chirurgicale. Certains médias avancent même son décès.
C’est une de ces informations qu’il faut prendre au conditionnel. D’autant plus au vu du cloisonnement des informations en Corée du Nord. Mais depuis quelques jours, les rumeurs s’affolent. Le dictateur Kim Jong-un, dirigeant suprême de la République populaire démocratique de Corée, serait dans un état de santé d’une grande gravité. Selon certains médias chinois et japonais, celui qui dirige son pays depuis 2011 serait sur son lit de mort. Sa mort serait imminente, si elle n’a pas déjà eu lieu comme certains semblent le penser.
Selon le magazine japonais Shukan Gendai, ce serait suite à une opération cardiaque mal exécutée que Kim Jong-un se serait retrouvé dans un état végétatif. Certains rapports paraissent indiquer que le chirurgien avait les mains tremblantes. L’absence troublante d’apparitions publiques depuis plusieurs semaines sembleraient confirmer ces hypothèses. Une équipe médicale chinoise, envoyée sur place pour apporter leur aide au leader, aurait confirmée que son état de santé s’était dégradé.
L’information a été en particulier relayée par le média américain TMZ (qui avait annoncé en premier le décès de Michael Jackson, ou encore avec fiabilité ceux de XXXTentacion et plus récemment Kobe Bryant), qui ce soir va plus loin en annonçant sa mort.
Cependant, certaines voix se sont élevées contre ces rumeurs. Comme celle de Donald Trump, président des États-Unis, qui a qualifié d’ « erronées » les informations sur l’état de santé de son homologue coréen, ou encore celle de voisins de Corée du Sud, qui a minimisé l’information.
Si jamais le dirigeant actuel de la dictature asiatique venait à décéder, l’avenir pourrait s’annoncer encore plus sombre pour la Corée du Nord. Un membre de sa famille, encore plus cruelle, paraît être son successeur tout désigné. Kim Yo-jong, sa petite sœur, remplit toutes les conditions. Et si le fait qu’elle soit de sexe féminin ne jouera pas en sa faveur, elle pourrait bien être celle qui succèdera à Kim Jong-un en cas de décès ou d’incapacité de celui-ci.
C’est une information à prendre au conditionnel. Mais si elle venait à être confirmée, elle secouerait la planète toute entière. La Corée du Nord, une des dernières dictatures de la planète, pourrait bien perdre son dirigeant suprême.
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