La fin de l’été étant synonyme de fin de vacances, Marlène Schiappa, Christophe Castaner et Mounir Mahjoubi ont raconté leurs souvenirs de rentrée scolaire au micro de Saad Merzak. Plongée dans l’enfance de trois ministres…
La rentrée scolaire est un jour important dans la vie d’un enfant, on a du mal a s’endormir, on peut avoir hâte d’y être ou au contraire être effrayé du changement. Pour Marlène Schiappa, ministre chargée des Droits des femmes, la rentrée c’était plutôt « synonyme de fournitures scolaires, […], j’aimais bien avoir des nouvelles copies-doubles » tandis que pour Christophe Castaner, secrétaire d’État chargé des Relations avec le Parlement et délégué général de la République en marche et son confrère Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État chargé du Numérique c’était plutôt « les copains« , retrouver des camarades de l’année précédente.
Des souvenirs, pour Christophe Castaner, une année de CM2 marquée par un professeur qui avait su s’y prendre en emmenant sa classe dans la nature ou encore « faire des classes de ski« . Pour la ministre chargée des Droits des femmes, l’année de CM2 l’aura marqué, une fierté d’être la première fille à rentrer dans l’École de la Maîtrise dans le VIIIème arrondissement de Paris. Au contraire, Mounir Mahjoubi aura été marqué par la « violence de certains« , « les remarques de certains » qui pointent la différence. À l’université ce sera différent, après quatre années de droit, il rencontrera « des gens qui sont devenus des amis pour la vie« .
Et pour ce qui est de la tricherie ? « Je n’ai jamais triché à un examen parce que comme j’avais des parents enseignants. J’avais le droit d’avoir des mauvaises notes ou de pas réussir mais j’avais pas le droit de pas y aller et je n’avais évidemment pas le droit de tricher« , explique Marlène Schiappa. Idem pour Mounir Mahjoubi pour qui ce n’était pas le genre, « j’avais même très peur de ça, j’avais très peur des gens qui trichent« . En revanche pour l’actuel numéro 1 de LREM, c’est plutôt la logique du « pas vu, pas pris »…
L’enfance c’est aussi avoir des rêves, plein la tête. Christophe Castaner et Marlène Schiappa rêvaient d’être journalistes. Le secrétaire d’État chargé du Numérique lui, voulait devenir professeur de mathématiques ou directeur d’usine : « c’était bizarre pour un enfant mais ça me faisait rêver« , ajoute-t-il.
À défaut d’avoir réalisés leurs rêves d’enfants, ils sont finalement tous devenus ministres. Pas mal comme plan B.
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