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Nino Rota, Bruno Coulais & Les Autres Comtes (Musicaux) de Monte-Cristo | Seriefonia

C’est l’événement du cinéma français de l’été : la nouvelle version du Comte de Monte-Cristo au cinéma avec Pierre Niney.

C’est la dernière de la sixième saison déjà… Et c’est toujours SérieFonia…

[« SérieFonia : Season VI : Opening Credits » – Jerôme Marie]

[« EXTRAIT SONORE : Le Comte de Monte-Cristo »]

[« Le Comte de Monte-Cristo (2024) – Vengeance (Thème de Monte-Cristo) » – Jérôme Rebotier]

Depuis la publication du roman coécrit par Alexandre Dumas et Auguste Maquet, édité pour la première fois durant l’été 1844, la vengeance d’Edmond Dantès est devenue la plus iconique, la plus viscérale, la plus emblématique d’entre toutes. La preuve : au rang des œuvres le plus souvent adaptées aussi bien sur le petit que sur le grand écran, Le Comte de Monte-Cristo est souverain. Au même titre que Les Misérables ou Les Trois Mousquetaires, par exemple… Rendez-vous compte : Près d’une quarantaine de métrages, répartis entre films, séries, mini-séries, animés et tutti quanti, ont été produits entre 1908 et 2024. Et la dernière version en date, portée par Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière, a été mise en musique par le fidèle compositeur des deux réalisateurs : Jérôme Rebotier…   

[« Le Comte de Monte-Cristo (2024) – Le Duel » – Jérôme Rebotier]

Avec l’un… ou l’autre… ou les deux… il a mis en musique La Jungle en 2006, Le Prénom en 2012, Un illustre inconnu deux ans plus tard, ou encore Le Meilleur reste à venir en 2019. Par ailleurs, il a également collaboré avec Tonie Marshall… Notamment sur Au plus près du Paradis, Passe-Passe… et Venus & Appolon. En parallèle, on lui doit également les partitions de nombres de documentaires ; comme Le ciel est à elle, de Valérie Manns, ou A nos corps excisés d’Anne Richard. Et même un roman, Dans la cour, paru en 2023. Pour Le Comte de Monte-Cristo, avec l’excellent Pierre Niney dans le rôle-titre, il impose un style résolument contemporain dans son approche d’une musique de film de type hollywoodienne qui n’a rien à envier au vrombissement décomplexé d’un Hans Zimmer… 

[« Le Comte de Monte-Cristo (2024) – L’évasion (Part 2) » – Jérôme Rebotier]

Ou au côté plus baroque d’une composition résolument plus Européenne…

[« Le Comte de Monte-Cristo (2024) – Le bal d’Eugénie » – Jérôme Rebotier]

C’est bien connu : Edmond Dantès est un homme aux mille visages… En un sens, les membres de l’équipe Mission Impossible lui ont tout piqué… Plus sérieusement, le fait que le personnage passe ainsi d’une personnalité grimée à l’autre fait assurément de lui l’un des plus prisés de tout comédien qui se respecte. Au fil des ans, que dis-je, des décennies, le Comte de Monte-Cristo a été interprété par des talents tels que Gérard Depardieu, Jean Marais, Jacques Weber ou Louis Jourdan… Sans oublier les adaptations non françaises sous les traits de Jim Caviezel, Andrea Giordana ou Richard Chamberlain… Et à chaque visage, Dantès s’adjoint un nouveau compositeur…

[« The Count of Monte-Cristo (2002) – Training Montage » – Ed Shearmur]

Ici : Ed Shearmur, à qui l’on doit également La Mutante 2, Jakob le Menteur, K-PAX et Capitaine Sky et le monde de demain… S’il n’a pas une filmographie sensiblement marquante, il apparait néanmoins vite évident – à l’écoute du morceau que je viens de vous diffuser – qu’il s’agit là d’un musicien proche de Michael Kamen… Et pour cause : il a été son assistant d’orchestration sur certains des plus grands titres de son illustre mentor… A savoir, Die Hard, L’Arme Fatale, Permis de Tuer ou encore le très réussi Don Juan DeMarco… Ah bon, ça ne vous a pas frappé ? Bon, Ok, on réessaye… Franchement, ça ne nous rappelle pas un peu les inoubliables élans héroïco-romantiques d’un Highlander ça ?…

[« The Count of Monte-Cristo (2002) – Finding the Treasure » – Ed Shearmur]

En France, le film de Kevin Reynolds… Ah bah tiens… Le réalisateur de Robin des Bois, Prince des Voleurs… Encore une coïncidence Michael Kamenienne ?… En France disais-je, ce Count of Monte-Cristo est sorti en 2002 sous le titre La Vengeance de Monte Cristo… Juste au cas où le public ne saurait pas encore tout à fait de quoi il retourne… Et s’il s’en sortait très honorablement, difficile malgré tout d’effacer le souvenir laissé par la mini-série produite pour FR3 en 1979, avec un Jacques Weber plus qu’investi en Edmond Dantès, devant la caméra de… Denys de la Patellière ! Oui… le papa d’Alexandre… le coréalisateur de la version 2024… Y a des destins comme ça…

[« Le Comte de Monte-Cristo (1979) – Theme » – Nino Rota & Carlo Savina]

Le cas musical de ce Monte-Cristo là est particulièrement intéressant… Car bien qu’il soit communément attribué à Nino Rota, c’est en réalité Carlo Savina qui a fait le gros du boulot. Si son nom ne vous dit rien, eh bien c’est quand même lui qui était déjà chef d’orchestre sur Le Parrain, du même Nino Rota en 1972… Mais oui, je vais vous en glisser un bout juste après mais, pour l’instant, restons concentré sur ce Comte de Monte-Cristo… Car en plus de ne pas avoir concrètement composer lui-même pour cette mini-série, son thème principal s’avère ni plus ni moins que retravaillé d’après sa partition pour… Rocco et ses frères, de Visconti en 1960 ! Même pas la peine de nier… Un, ça s’entend et deux, c’est carrément revendiqué de toute façon…

[« Rocco e i suoi fratelli – L’Amore Di Rocco » – Nino Rota]

Voilà, voilà, voilà… Mais hé, pourquoi pas après tout ? Parce que bon… ça marche en fait. Il faut dire que les compositeurs Italiens, Ennio Morricone en tête, sont – ou étaient – largement coutumiers du fait. Bon, allez, avant de vous dire deux trois choses sur le grand Nino Rota, chose promise chose due… Mesdames et Messieurs… quelques secondes dûment choisies de The Godfather… ou Le Parrain si vous préférez…

[« The Godfather – The Aftermath » – Nino Rota]

Nino Rota était ce qu’on peut littéralement appeler un petit génie. Né à Milan en décembre 1911, il a à peine 11 ans lorsqu’il écrit ses premières compositions. Il intègre le Conservatoire Giuseppe-Verdi de Milan à douze et propose son premier opéra dès 1926, qui rencontre un succès plus que prometteur. En 1930, Il est diplômé de l’Académie nationale Sainte-Cécile de Rome puis s’envole pour pendant deux ans à Philadelphie dans le but de découvrir de nouveaux horizons musicaux. Trois ans plus tard, il signe sa première musique de film, Treno Popolare pour Raffaello Matarazzo, mais devient finalement professeur de composition et continue d’œuvrer dans les sphères classiques. Il faut attendre 9 années supplémentaires pour que Nino Rota se tourne à nouveau vers le grand écran… toujours aux côtés de Matarazzo. En revanche, une fois tombé dedans, on ne l’arrête plus ! A compter des années 40, il travaille sur trois à quatre films par an… Et grimpe même jusqu’à une quinzaine de projet en 1952 ; année où il rencontre un certain Federico Fellini… Comme ça, en attendant simplement à un arrêt de bus à Rome…   

[« La Dolce Vita – La Dolce Vita Dei Nobili » – Nino Rota]

Ça, c’était pour La Dolce Vita en 1960… Mais leur rencontre en 1952 relève du providentiel… Rota n’aime pas spécialement le cinéma… Et Fellini ne s’intéresse qu’à la musique de ses propres films. Pourtant, à eux deux, ils vont écrire tout un pan de l’Histoire cinématographique avec un grand H. Et Nino Rota, à lui tout seul, s’impose comme l’un des plus illustres représentants Italien du genre dans le lequel il excelle… Y compris lorsqu’il s’attaque au très britannique William Shakespeare ! Ecoutez un peu son Roméo et Juliette… C’était en 1968 pour Franco Zeffirelli…

[« Romeo e Giulietta – Night’s Candles Are Burnt Out » – Nino Rota

Avant de s’éteindre à 67 ans seulement le 10 avril 1979, alors qu’il venait d’enregistrer Prova d’orchestra pour Fellini, Nino Rota a composé les partitions de quelques 170 films et d’un grand nombre de symphonies, opéras et autres concertos… et reste encore aujourd’hui considéré comme l’un des plus mélodiste de son époque. Tous genres confondus… Mais revenons-en à notre Comte de Monte-Cristo… qui, en 1975 par exemple, était campé Richard Chamberlain dans un téléfilm anglo-italo-américain de David Greene, avec également Donald Pleasence en Danglars et Tony Curtis en Mondego… A noter qu’il en existe des montages différents selon les pays où il a été diffusé… 103 minutes aux USA, 119 minutes en Angleterre, ou seulement 98 en Allemagne… Et bien qu’il ait parfois été distribué en salles, à l’origine, c’est un pur produit NBC… sur une musique d’Allyn Ferguson… qui a notamment bossé sur des épisodes de Starsky & Hutch, Drôles de Dames et L’Homme de Fer…

[« The Count of Monte-Cristo (1975) – Générique » – Allyn Ferguson]

Avant lui, en 1961, c’est René Cloërc, fidèle compositeur des œuvres de Claude Autant-Lara, qui musicalisait le diptyque La Trahison, puis La Vengeance (tous deux sortis la même année) : une production franco-italienne justement mise en scène par Autant-Lara, avec Louis Jourdan en Comte de Monte-Cristo et Pierre Mondy en Caderousse…

[« Le Comte de Monte-Cristo (1961) – Theme » – René Cloërc]

Toutes les générations de cinéastes se relaient pour adapter le roman de Dumas depuis 1908 ! Les pionniers étant Francis Boggs aux Etats-Unis, Luigi Maggi & Arturo Ambrosio en Italie et Victorin Jasset en France… Oui, les trois la même année ! Depuis, il ne se passe pas une décennie sans qu’Edmond Dantès resurgisse quelque part dans le monde… Il y a même eu plusieurs versions Musical sur les planches internationales… Comme ici en 2008, sur une musique de Frank Widhorn et un livret de Jack Murphy… Bien qu’écrit en langue anglaise, le show a été joué pour la première fois en mars 2009 à St. Gallen, en Suisse, avant de s’exporter jusqu’en Corée… Classique, mais efficace…

[« The Count of Monte-Cristo, A New Musical – I Know Those Eyes » – Frank Widhorn & Jack Murphy]

Alors là, on en arrive au moment de l’émission où je suis bien content. Premièrement, parce que c’est vrai que je ne parle pas très souvent de compositeurs français… et plus encore parce que, justement, voici venir la partie sur Bruno Coulais. Et j’aime beaucoup Bruno Coulais. De plus, c’est lui qui a eu l’occasion de mettre en musique l’une des (si ce n’est l’) adaptation(s) la plus complète de l’œuvre qui soit… En septembre 1998, TF1 diffusait les quatre parties de plus d’une heure et demie chacune du Comte de Monte-Cristo selon Josée Dayan, avec Gérard ET Guillaume Depardieu en Edmond Dantès… Une coproduction franco-italienne, récompensée dès l’année suivante par les 7 D’Or de la meilleure fiction et meilleur acteur de l’année… 

[« Le Comte de Monte-Cristo – Monte-Cristo » – Bruno Coulais]

Oui, je sais, ça sonne un peu comme le Dracula de Wojciech Kilar pour Coppola… Bah, c’est pas pour me déplaire après tout… Alors, comme je l’écrivais dans Le Guide des Compositeurs de Musique de film, publié en 2017 aux éditions Ynnis, la signature de Bruno Coulais, né à Paris en janvier 1954, est authentique, riche, déroutante même parfois mais toujours immersive. Son style ne se fond dans aucune tradition précise tout en embrassant les influences les plus diverses : de la musique ethnique à la variété, en passant par le jazz, l’électronique et le classique, sans se priver, au détour des projets, d’une pointe de hip-hop tirant, de temps à autre, à la limite du reggae. Il arrive d’ailleurs même qu’un morceau comme « Egyptian Trans », présent dans la bande originale du Belphégor de Jean-Paul Salomé réunisse absolument toutes ces caractéristiques en à peine un peu plus de trois minutes…

[« Belphégor – Egyptian Trans » – Bruno Coulais]

A lire aussi : On regarde ou pas ? Le comte de Monte-Cristo avec Pierre Niney | VL Média (vl-media.fr)

C’était en 2000, tout pile, et j’en profite pour vous spécifier que je ne vais ici diffuser que des extraits concernant ses adaptations d’œuvres télévisées devenues œuvres cinématographiques… Mais avant cela, rembobinons un peu le film… Initialement formé à l’art du violon et du piano, il commence à composer pour l’image en 1977, via le court-métrage documentaire Mexico Magico… Un genre qui l’accompagnera toute sa carrière et qu’il transcendera même avec Microcosmos en 1996… Puis avec Le peuple migrateur en 2001 et La planète blanche en 2006… Autant d’opportunités de se surpasser dans la recherche permanente de nouveaux sons et, encore plus spécifiquement, de nouvelles voix. Car bien au-delà de l’immense succès populaire des Choristes, l’instrument humain occupe une place de choix au sein de ses compositions.

[« Les Rois Maudits – Inquiétudes » – Bruno Coulais]

Là, c’était pour Les Rois Maudits en 2005… Par ailleurs, il s’essaie également à différents types d’animation, dessinée de manière traditionnelle avec L’enfant qui voulait être un ours en 2002, et en volume, animée image par image, avec le magnifique Coraline d’Henry Selick… Oui, celui-là même qui a réalisé L’étrange Noël de Monsieur Jack pour Tim Burton… Avec une telle diversité et ses succès à répétition, il peut paraître étonnant qu’il ne travaille pas plus avec l’étranger comme peut le faire, par exemple, un Alexandre Desplat… En réalité, sa filmographie reste principalement représentative de ses affinités artistiques… Lui qui est attaché, entre autres, aux réalisateurs Josée Dayan, Claude Nuridsany, Marie Pérénnou, Jacques Perrin, James Huth, Laurent Heynemann ou encore Benoît Jacquot… Et Patrice Leconte aussi… Pour qui il réinvente musicalement Maigret, encore une fois avec Depardieu, en 2022…

[« Maigret – Maigret (Générique début) » – Bruno Coulais]

Déjà Mort pour Olivier Dahan en 1997, Himalaya : l’enfance d’un chef en 1999, Les rivières pourpres pour Kassovitz en 2000, Brice de Nice en 2004, MR 73 en 2008, Journal d’une femme de chambre en 2015, ou encore dernièrement Boléro pour Anne Fontaine… Quand je vous dis qu’il peut s’attaquer à tous les genres… Ce n’est plus une conviction, c’est un fait. Allez, histoire de boucler la boucle, voici un nouvel extrait de son Monte-Cristo et à travers lui, toute l’étendue de son côté sombre (mais romantique) et mystérieux…

[« Le Comte de Monte-Cristo (1998) – Le Fantôme du Passé » – Bruno Coulais]

Sans transition ou presque, faisons à présent un détour par l’animation japonaise… Car le projet vaut le détour ! Nous sommes en octobre 2004 et l’un des principaux animateurs des films du studio Ghibli, dont Nausicaä de la vallée du vent, Le château dans le ciel, Porco Rosso… ensuite devenu réalisateur sur Blue Submarine n°6 et The Animatrix… J’ai nommé Monsieur Mahiro Maeda… met en scène les 24 épisodes d’une série aussi audacieuse qu’innovante : Gankutsuou. Et oui, il s’agit bel et bien d’une adaptation du Comte de Monte-Cristo…. Même si l’action se situe sur d’autres planètes, dans une atmosphère à mi-chemin entre le baroque, le steampunk et la SF ultra-technologique. Ça commence par la rencontre du vicomte Albert de Morcerf avec le mystérieux Comte de Monte-Cristo dans un opéra de la planète Luna… Le choc des cultures… Le choc des mondes… et, naturellement, le choc des sons…

[« Gankutsuou – MONTECRISTO » – Kasamatsu Kouji]

Ils sont deux compositeurs à se partager la signature musicale de ce Gankutsuou… Tout d’abord, le spécialiste en designs et effets sonores, Kasamatsu Kouji, dont vous venez d’entendre l’étonnant morceau justement titré MONTECRISTO… Et ensuite, le franco-britannique Jean-Jacques Burnel, par ailleurs bassiste des Stranglers, très porté sur le punk-rock. Un duo détonnant… pour un résultat… décapant…

[« Gankutsuou – Anger (Edmond kara no Tegami) » – Jean-Jacques Burnel]

Essayez d’écouter ça en lisant Dumas et vous constaterez que l’expérience n’est pas totalement dénuée d’intérêt… Un brassage des genres et des styles que, dans une moindre mesure, on retrouve d’ailleurs dans la proposition contemporaine de Jérôme Rebotier sur le dernier film en date… Mais avant de vous quitter sur un dernier extrait de sa partition, permettez-moi de glisser ici une itération un peu plus décalée, mais qui ne surprendra cependant pas les plus fidèles d’entre vous, puisqu’il s’agit de l’apparition d’Edmond Dantès dans l’épisode 2 de la saison 6 de Once Upon a Time… Série chère à mon cœur s’il en est et qui, lors de cette sixième année, tentait de faire interagir les héros de la littérature classique avec ceux de l’univers Disney. Un pari éclair… Mais qui a le mérite d’avoir été tenté… Toujours sous la baguette de Mark Isham…

[« Once Upon a Time, Saison 6 / Episode 2 – The Count of Monte Cristo » – Mark Isham]

Eh voilà ! Nous voici à la fois au terme de ce numéro et de cette saison de SérieFonia… Cependant, réjouissez-vous ! On se donne rendez-vous courant septembre pour inaugurer la saison 7 ! Avec un nouveau petit changement de formule en perspective… Mais shuuut… Vous verrez bien… D’ici là, il ne me reste plus qu’à vous souhaiter d’excellentes vacances… Et si vous êtes à la plage, pensez à explorer les roches ou cavernes avoisinnantes… Sait-on jamais, peut-être y découvrirez-vous un trésor inestimable… Tout comme celui qui a fait de Dantès le fameux Comte de Monte-Cristo… La source-même de sa vengeance au long cours… et que Jérôme Rebotier accompagne comme ça… Allez, à bientôt tout l’monde… Et n’oubliez pas… La vengeance est un plat qui se mange… froid.

[« Le Comte de Monte-Cristo (2024) – Le Trésor » – Jérôme Rebotier]

A réécouter aussi : La grande aventure musicale de Maurice Jarre | Sériefonia | VL Média (vl-media.fr)

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