Depuis la saison 5 et l’épisode « Face Caméra », Simon Astier fait partie des réalisateurs de premier choix pour Profilage. Il revient en saison 7 et signe un épisode hommage.
Depuis ses débuts, Profilage a su s’entourer de réalisateurs de choix comme Alexandre Laurent ou Chris Briant, pour ne citer qu’eux. Mais depuis la saison 5 et l’épisode « Face caméra« , un autre réalisateur talentueux s’est ajouté à la liste en la personne de Simon Astier. Un nom qui pouvait surprendre au premier abord tant les univers des polars de TF1 et de séries comme Hero Corp sont a priori éloignés. A priori. Car dès le début, Simon Astier a su apporter son style à Profilage tout en respectant le travail effectué par Fanny Robert et Sophie Lebarbier. Dans la saison 5, il signa par exemple ce faux mocumentary dans lequel il incarne un journaliste suivant pour un faux documentaire la DPJ. Rebelote en saison 6 avec l’épisode « OVNI« , très original dans une saison qui l’était un poil moins. Simon Astier revient donc en saison 7 avec l’excellent épisode « Momie« .
A lire aussi : découvrez qui est Diane Dassigny, la petite nouvelle de Profilage
On ne vous spoilera pas le contenu de cet épisode. Néanmoins, on peut vous dire que Simon Astier ne faillit pas à sa réputation sur Profilage et signe un des épisodes très originaux de cette saison, formellement s’entend.
L’équipe d’Adèle et Rocher enquête sur une étrange malédiction autour d’une momie exposée dans un musée. Avec « Momie« , la série s’offre un très bel hommage à Belphegor, série culte des années 60.
Simon Astier a très bien su diriger les acteurs, optant pour une « retenue » salutaire. On n’en remettra pas une couche sur Juliette Roudet ? Oh, et puis si, allons-y. La toute dernière partie nous prouve une fois de plus combien les auteures de la série ont entre les mains une vraie petite pépite qu’elles ne manquent pas de gâter. Et surtout, surtout, quel cliffhanger de fin d’épisode !! Sans doute une des plus « hallucinantes » fins d’épisode (si on met de côté les excellents twists de fin de saison).
Celui-ci… à s’en décrocher la mâchoire.