Le 18 mars dernier, un étudiant en médecine est mort dix jours après avoir s’être fait vacciné avec le vaccin AstraZeneca. Une enquête a été ouverte et une autopsie sera pratiquée pour déterminer si l’injection est la cause du décès.
Au total, ce sont une trentaine de décès qui ont été constatés dans le monde suite à une injection du vaccin AstraZeneca. Début mars, une équipe de chercheurs norvégiens tente d’établir un lieu entre cette vaccination et le phénomène de thromboses. Le chef du service hématologie de l’hôpital d’Oslo, le professeur Pal Andre Holme a déclaré suite à l’étude qu’il était convaincu que le vaccin était responsable de la formation de caillot sanguin et donc de thrombose.
Le 18 mars, un nouveau décès survient après une injection du vaccin AstraZeneca. Un jeune Nantais de 24 ans qui a succombé à une thrombose 10 jours seulement après l’intervention. Le parquet de Nantes vient d’ouvrir une enquête pour déterminer si le vaccin est en cause. D’après le rapport de la police, le jeune homme serait mort d’une hémorragie interne causée par une thrombose. Toujours selon le rapport, il avait 1,7 litres de sang dans le ventre au moment où son corps a été retrouvé. D’après son grand frère l’étudiant n’avait aucun antécédent médical et avait une bonne hygiène de vie. Une autopsie sera pratiquée pour déterminer si cette hémorragie est bien due à l’injection qu’il a reçue.
L’Agence nationale de la sécurité du médicament tient à préciser que pour le moment, en France, aucune preuve de décès suite à l’injection du vaccin AstraZeneca n’a été apportée.