Dimanche soir, la carlingue du vol « Hop » AF5235 de la compagnie Air France s’est perforée. L’avion, qui reliait l’aéroport d’Orly à celui d’Aurillac était un modèle ATR42.
Grosse frayeur pour les passagers
Après que les passagers aient entendu un grand bruit, le commandant de bord a tenté de rassurer ces derniers a évoquant « une oie ou un bloc de glace ». Toutefois, le choc n’a fait aucun blessé et l’appareil a pu atterrir sans problème. Ce n’est d’ailleurs que fois l’appareil arrivé à destination que les personnes à bord ont pu se rendre compte l’ampleur des dégâts.
@lamontagne_15 grosse frayeur sur le vol Orly Aurillac de ce dimanche soir victime d’un choc en altitude. Grâce au sang froid de l’équipage arrivée à bon port. pic.twitter.com/4dexe7Cvtg
— Pht7515 (@pht7515) 25 mars 2018
Enquête ouverte
Cloué au sol, l’appareil n’a pas pu assurer le vol prévu le lundi 26 mars. Ce même lundi, le Bureau d’enquêtes et d’analyses a annoncé qu’une enquête avait été ouverte : trois enquêteurs analysent l’appareil depuis ce mardi 27 mars. Cloué au sol, l’appareil n’a pas pu assurer le vol prévu le lundi matin. La piste d’un choc produit par un élément extérieur est désormais écartée : la compagnie estime qu’une pièce de l’avion pourrait s’être détachée lors de l’ouverture du train d’atterrissage.
@BEA_Aero ouvre une enquête de sécurité sur l’événement concernant l’avion #ATR42 immatriculé #FGPYF et exploité par #HOP survenu en croisière le 25/03/18 entre #Orly et #Aurillac / Vol #A5235. Une équipe de 3 enquêteurs du BEA sera sur place demain.
— BEA | Bureau d’Enquêtes & d’Analyses ✈ ?? (@BEA_Aero) 26 mars 2018