À la uneInternational

Dans les pénitenciers du Mississippi, le sexe c’est terminé!

Pour que le statut de prisonnier soit encore moins une partie de plaisir, l’état du Mississippi à décider d’interdire les parloirs conjugaux. Au 1er Février il sera impossible pour certaines épouses de faires des enfants dans une prison. Allez, on remonte la braguette ! 

C’est la presse américaine qui en a parlé en premier, bien évidement. Dans quelques jours la libido des prisonniers des pénitenciers du Mississippi va être mise à rude épreuve. En effet, l’état américain va mettre fin à une loi, qu’il avait lui-même mis en place en 1903.

A ce moment-là l’objectif était de rendre les esclaves afro-américains plus disciplinés et dociles lorsqu’ils travaillaient dans les plantations. En réalité, ce n’était qu’un immense pénitencier. Cette loi permet encore pendants quelques jours, d’avoir des parloirs conjugaux, afin que les couples est un peu d’intimité.

Mais, Richard Bennet, élu au Congrès de l’Etat n’est pas en accord avec ce qui se passe dans les prisons. Certaines épouses en profiteraient pour faire des enfants durant cette heure au parloir conjugal.

Il est resté bouche-bée lorsqu’une directrice d’un collège de l’état lui racontait une histoire concernant un de ses élèves. Celui-ci avait un petit frère qui avait été conçu en prison et depuis élevé par la grand-mère. Effectivement, les deux parents étaient emprisonnés. C’est à la suite de ce genre de révélations que l’élu à decidé fin 2012 de créer un projet de loi contre ce genre de pratique interdisant les parloirs conjugaux.

 

 

 

About author

Informer, décrypter, divertir
Related posts
À la uneFranceJeux Olympiques Paris 2024

EN DIRECT | Paris 2024 : suivez la cérémonie d'ouverture

À la uneFranceJeux Olympiques Paris 2024

Une « attaque massive » contre la SNCF avant le début des Jeux olympiques

À la uneFranceJeux Olympiques Paris 2024Sport

EN DIRECT | Suivez le relais de la flamme olympique ce vendredi 26 juillet

À la uneFranceMédias

C8 et NRJ12 vont-elles disparaître ?

Retrouvez VL. sur les réseaux sociaux