On le sait depuis très longtemps, l’anglais s’est imposé comme la langue internationale de référence. Ainsi, pour les entrepreneurs, les politiciens tout autant que les personnes travaillant dans l’importation ou encore l’exportation de produits et de valeurs, cette langue est une base.
Cette langue offre toujours le pouvoir de communiquer avec un trader russe comme d’interviewer un entrepreneur chinois ou encore d’indiquer des emplacements à des touristes californiens en touriste à Paris.
L’économie mondiale s’offre alors le luxe et le privilège d’avoir une langue universelle qui s’est acquise par la force, le pouvoir et la prestance.
Car oui aujourd’hui, la langue de Shakespeare règne en maître sur la terre et sur l’économie…mais attention, il y a des langues ambitieuses en approche…on vous dévoile tout, suivez-nous…
L’anglais reste roi
Parler premièrement en Angleterre ainsi que dans toute la Grande-Bretagne, l’anglais (qui est un dérivé du vieux français, on aime le rappeler) a alors annihilé tous les petits dictons celtes des environs.
De plus, avec leur colonisation en Asie (Inde) ou encore évidemment en Amérique du Nord tout en alliant les pays du Commonwealth (bonjour à l’Australie), la langue anglaise a enflé de pouvoir au cours des derniers siècles.
Une industrialisation bénéfique
De plus, avec une industrialisation très importante en Grande-Bretagne et aux USA, cette langue s’est révélée être la maître du business pour l’entièreté de la planète Terre.
Quiconque veut communiquer avec de lointains étrangers pour faire prospérer son activité économique devra apprendre la langue anglaise.
D’ailleurs si vous vous êtes toujours intéressé à la langue anglaise, voici ce guide pour apprendre l’anglais qui vous sera d’une précieuse aide, on l’espère.
Il serait également intéressant de voir la continuité de cette langue si dans un futur proche ses pays anciennes colonies anglaises se développent de plus en plus.
On va toutefois vers un choc économique dans les langues les plus utiles dans le business…
Le mandarin arrive en force
Et oui, car si l’anglais est leader, le mandarin arrive en grande pompes derrière et avec énormément de confiance pour l’avenir.
La langue la plus parlée de Chine (1 milliard de locuteurs natifs tout de même) est devenue elle l’usine du monde.
Un très grand nombre de produits que nous utilisons au quotidien sont fabriqués en Chine.
Les tours comme les entreprises fleurissent par dizaine jour après jour dans ce grand pays asiatique.
Si aujourd’hui, les grands entrepreneurs chinois réussissent à communiquer en anglais, il faudra toutefois redoubler de vigilance car il n’est certainement pas question pour la Chine de Xi Jinping de parler éternellement anglais dans le monde économique et du business quand la Chine est la leader du marché mondial.
Quid du russe ?
Pour ce qui est du russe parlé et compris par plus de 250 millions de personnes dans le monde si l’on prend en compte tous les ex-pays de l’Union Soviétique, il est intéressant de l’apprendre pour le futur axe économique eurasien en approche mais ne sera pas leader demain matin, soyons clairs. Cependant, dans un futur pôle économique Chine-Japon-Corée-Russie, ce sera alors un vrai plus que de parler et de comprendre cette langue slave.
Il y a également le réchauffement climatique en jeu. En effet, ayant une grande partie de l’Arctique dans son territoire, la Russie pourrait voir arriver une flopée d’investisseurs et de constructeurs construire à tout va sur ces terres. On sait qu’économiquement, ce serait un énorme projet et apporterait beaucoup de bénéfices à la Russie. Pas sur que eux parlent anglais pour communiquer sur le long-terme…
La langue de Molière dans tout ça
Pour ce qui concerne notre bon vieux français, langue de Molière est parlée elle aussi aux quatre coins du globe.
Hélas, en dehors de la France, de la Suisse francophone et du Québec, les locuteurs français sont bien souvent issus de zones en développement. Cela signifie que tant que ces zones resteront sous-développées par rapport à l’Occident, le français n’aura pas de puissance de frappe comparé à l’anglais ou au mandarin.
Conclusion
Niveau business et économique, c’est la guerre des langues, vous l’aurez compris.
Aujourd’hui, il est vrai que l’anglais est encore très populaire aux quatre coins du globe.
Cependant, la couronne Britannique devrait compter sur un fort développement de ses pays anglophones d’Afrique afin de pouvoir contrecarrer la puissance du mandarin, langue de Chine, prête à tout ravager sur son passage.
En ce qui concerne le russe, la langue de Dostoïevski aura une carte à jouer en comptant sur ses 250 millions de locuteurs mais aussi sur le plus que probable axe eurasiatique dans le business de demain.
Pour le français, afin de peser dans la balance des langues les plus puissantes au niveau mondiale, elle ne doit compter sur une explosion industrielle de l’Afrique francophone ou bien d’être une réelle start-up nation…on a encore du boulot.
La langue anglaise reste alors reine au niveau des échanges mais sa rivale asiatique est prête à tout prendre sur son passage…à voir !