Le corps de l’homme de 33 ans a finalement été retrouvé sans vie ce mardi 20 juillet à Gréolières, dans les Alpes-Maritimes. Fin d’une traque qui avait débuté ce dimanche, alors que Marc Floris, suspecté de féminicide, avait pris la fuite face aux forces de police.
Ce dimanche 18 juillet, une traque avait débuté dans les Alpes-Maritimes alors que Marc Floris, suspect principal du meurtre de Doriane Ragon, avait pris la fuite après avoir tiré sur les forces de police. Un appel à témoins avait été lancé dès lundi 19 juillet afin de retrouver la trace du fugitif, qualifié de « dangereux » et « armé » par les autorités.
Cette véritable chasse à l’homme à travers les Alpes-Maritimes avait nécessité la mobilisation de plusieurs unités du GIGN, mais aussi près de 200 gendarmes, d’équipes cynophiles ainsi que de plusieurs hélicoptères, rapporte Le Parisien.
Une « issue redoutée par tous »
Le corps de Marc Floris a finalement été retrouvé à Gréolières, dans les Alpes-Maritimes, ce mardi 20 juillet. Une « issue redoutée par tous » que Guy Bouchet, procureur adjoint du parquet Draguigan, a finalement confirmé lors d’une conférence de presse dans la même journée. Le corps du fugitif, « relativement abîmé », a été retrouvé « dans des relief montagneux » à 12h50, puis identifié à 13h09, a précisé Guy Bouchet.
Si la piste du suicide est privilégiée, comme le rapporte Le Parisien, les autorités attendent tout de même le rapport complet de la médecine légale afin de déterminer les circonstances exactes dans lesquelles le décès de Marc Floris est survenu.
Le Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a d’ailleurs tenu à remercier les équipes mobilisées dans le cadre de cette traque via son compte Twitter.