Vous n’avez pas suivi l’actualité cette semaine ? Pas de panique, voici pour vous les cinq infos à retenir en cette semaine du 4 décembre.
Disparition de Johnny Hallyday
Vous n’avez pas pu passer à côté de la triste nouvelle. Dans la nuit de mardi à mercredi, le monument du rock français Johnny Hallyday nous a quitté à l’âge de 74 ans. Le chanteur a succombé à son cancer des poumons dans sa résidence de Marnes-la-Coquette. Ses funérailles donneront lieu à un hommage samedi sur les Champs-Elysées, suivi de ses obsèques en l’église de la Madeleine.
Mort de l’académicien Jean d’Ormesson
Le célèbre écrivain et académicien Jean d’Ormesson est décédé à 92 ans dans la nuit de lundi à mardi. L’ancien directeur général du Figaro s’est éteint des suites d’une crise cardiaque à son domicile de Neuilly-sur-Seine, laissant derrière lui beaucoup de tristesse. Un hommage national lui a été rendu ce vendredi aux Invalides à Paris.
Donald Trump reconnait Jérusalem comme capitale d’Israël
Mercredi, le président américain a reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël, revendiquant une « nouvelle approche » sur le dossier épineux du statut de la ville sainte. Si le président américain s’est dit disposé à soutenir une solution à deux Etats dans le cadre du conflit israélo-palestinien, le contenu de sa décision a provoqué la colère du monde arabe.
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Brexit : le Royaume-Uni et la Commission européenne sont parvenus à un compromis
Après des mois de négociation, la Commission européenne et le Royaume-Uni ont annoncé avoir trouvé un accord de principe ce vendredi sur les modalités du Brexit. Theresa May a assuré que l’accord trouvé « garantit l’absence de frontière dure » en Irlande et renforce les engagements relatifs à l’intégrité du Royaume-Uni. Ce compromis permet ainsi de passer à la seconde phase des négociations, qui portera sur la période de transition après le Brexit, ainsi que sur la future relation commerciale entre l’UE et le Royaume-Uni.
L’ONU évoque des « éléments de génocide » contre les Rohingya
Suite à l’exode des 626 000 Rohingya depuis fin août, le haut commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a estimé ce mardi 5 décembre qu’il existait des « éléments de génocide » visant le peuple musulman en Birmanie. Zeid Ra’ad Al Hussein a demandé aux 47 Etats membres du Conseil « de prendre les actions appropriées pour mettre un terme à cette folie ». Cette déclaration marque une nouvelle étape franchie par les Nations unies dans la condamnation des violences infligées à la communauté.