En moyenne, une femme utilise dans sa vie à peut prêt 15 000 protections hygiéniques. Pourtant, de nombreuses marques utilisent toujours des composants nocifs dans leurs produits….
L’enquête a été dévoilé en Février dernier, des résidus de glyphosate et de phtalates ont été trouvés dans les tampons et serviettes hygiéniques. En clair, se sont des pesticides et des substances chimiques qui, entre autre, peuvent altérer la fertilité. Des résultats alarmants qui ne semble pas changé grand chose aux compositions des protections hygiéniques. En effet, le syndicat des fabriquant se défend : « les rares substances détectées […] le sont à l’état de traces, à un niveau largement inférieur aux seuils sanitaires ». Un seuil sanitaire trop élevé, puisque 30% de femmes, ont affirmées avoir déjà eu une réaction allergique dû aux protections jetables.
Un manque flagrant de réglementation
En plus de la présence de produits chimiques, les consommatrices déplorent le manque évident de transparence sur la fabrications des produits hygiéniques. En effet, aucune réglementation n’oblige actuellement les marques à indiquer explicitement la composition de leurs produits. Il est donc pratiquement impossible pour une consommatrice de savoir d’où vient son allergie.
Des produits plus respectueux du corps
De nouveaux produits sont proposés sur le marché pour concurrencé les marques de serviettes et de tampons nocifs: des cups menstruelles ou des culottes spéciales règles. Il existe aussi de nombreuses alternatives lavables, en coton pour limiter les allergies cutanées. Des choix audacieux qui se veulent économiques et respectueux de notre corps. Des substituts qui semblent fonctionner.