Valérie Trierweiler est arrivée en Inde dans la nuit de dimanche à lundi. Ce voyage, prévu de longue date, elle ne l’aurait manqué « pour rien au monde ». Mais s’il s’agissait à l’origine d’une visite de deux jours en soutien à l’ONG Action contre la faim, pour les journalistes du monde entier, c’était surtout l’occasion d’interroger l’ex-première dame sur sa récente rupture…
Les journalistes et les paparazzis étaient évidemment nombreux à attendre Valérie Trierweiler à l’aéroport de Bombay, en Inde. L’ex-première dame les a certainement contentés lors d’un entretien d’une heure et demie qu’elle leur a accordé « autour d’un café ». L’occasion pour elle de suggérer : « s’il [François Hollande] n’avait pas été président, peut-être serions-nous toujours ensemble ».
Selon RTL, lors de cette discussion informelle, Valérie Trierweiler s’est dite favorable au maintien du statut de première dame. « Cela ne me dérange pas que l’on m’appelle “ex-première dame”, je l’ai été. C’est important qu’il y en ait une à l’Elysée. Je suis vaccinée, on ne mesure pas à quel point il y a de la trahison et de l’hypocrisie, on prend des coups sans l’avoir demandé, ce ne sont pas mes codes » a-t-elle déclaré.
De la pub pour Jaguar
Outre les propos de Valérie Trierweiler concernant sa rupture, la visite de l’ex-première dame a également été ponctuée par un nouveau « coup de pub » : celle-ci s’est en effet engouffrée dimanche soir à son arrivée à l’aéroport de Bombay dans une Jaguar XJ sous l’œil des caméras de télévision. Dès le lendemain, Jaguar a publié sur son compte Twitter une photo de Valérie Trierweiler confortablement installée dans sa limousine de luxe avec le message: «Madame Trierweiler, Jaguar est heureux de contribuer à votre détente à bord d’une XJ !»
En 2013, la journée s’était déjà rendue en Inde lors d’une visite officielle de François Hollande. Elle avait été reçue avec tous les honneurs réservés habituellement aux épouses, et l’idylle du couple présidentiel avait passionné les Indiens. « C’est la troisième fois que je viens dans ce pays, la première fois c’était comme journaliste, la deuxième comme Première Dame et aujourd’hui… qualifiez-moi comme vous voulez » a affirmé celle qui se fait toujours appeler « First Lady » par les Indiens.