Au programme pour ce premier round musical : du rock, du rap, de la pop australienne et la très attendue Angèle qui ont électrisé les festivaliers. VL Media y était et vous raconte.
Après avoir traversé un (long) petit bois, nous arrivons enfin sur le large domaine qui abrite le festival Terres du Son. Juste le temps de récupérer les pass, de repérer les fontaines à eau et le plan du site et nous voilà partis pour 3 jours.
Terres du Son, ou TDS pour les intimes
Premier arrêt : les backstages et l’espace presse. Les petits tee-shirts verts des quelques 1 000 bénévoles bien sympathiques sont partout. Il est 17h15 et la « prairie » où se trouvent les scènes n’est pas encore ouverte au public. Toute l’immensité du site se voit là, sur cet espace vide qui ne le restera pas bien longtemps…
Terres du Son est, depuis ses débuts, un éco-festival mettant en avant les produits et entrepreneurs de la région. La partie gratuite, l’Eco-village, regroupe différentes associations ainsi qu’un coin gourmet en accord avec les valeurs de l’Asso qui organise et gère l’évènement. L’ambiance est familiale et festive avec des groupes locaux qui se produisent entre deux rushs de festivaliers.
Les concerts de la soirée
18h, les portes des grandes scènes s’ouvrent au public. Last Train, groupe de rock français attire nos yeux et nos oreilles et nous ne sommes pas les seuls. Le temps de se réhydrater et nous voilà repartis. Josman capte une bonne partie des jeunes festivaliers au fond de la prairie. Ceux à la recherche de fraîcheur se dirigent plutôt vers le Chapit’ô, que les australiennes Haiku Hands réchauffent rapidement…
S’ensuit la tête d’affiche de la soirée, Angèle. La jeune belge en plein milieu de sa tournée des festivals a ravi la foule de plusieurs titres issus de son dernier album. La soirée, loin de se clôturer, a ensuite continué une bonne partie de la nuit avec les sets électro pour les plus fêtards.