Il y a 35 ans, le 3 mai 1987, s’éteignait Dalida. Sa voix unique, ses performances sur scène, sa vie au destin tragique l’ont pourtant rendue immortelle. Retour sur ses 10 tubes incontournables pour vous faire danser et pleurer pour ce triste anniversaire.
Mourir sur scène, 1983
Sûrement l’une des chansons les plus représentatives de la fin de la carrière de Dalida. Alors au début de sa dépression, la chanson parait sur son album Les P’tits Mots. 4 ans plus tard, la chanteuse se donne la mort, non pas sur scène mais dans son appartement parisien.
Bambino, 1956
En octobre 1956, l’Italienne connait son premier succès avec la version française de la Guaglione. Elle se classe en tête des ventes pendant plusieurs semaines et fait un peu plus tard la première partie de Charles Aznavour à l’Olympia.
Itsi bitsi, petit bikini, 1960
Avec Itsi bitsi, petit bikini, Dalida change de style et gagne sa popularité à l’étranger.
Ciao amore, ciao, 1967
La chanson écrite par Luigi Tenco, alors compagnon de Dalida, connaît un franc succès en France comme en Italie. Le couple la performe au festival de Sanremo, mais la chanson n’est pas retenue par les juges. Le chanteur se suicide quelques heures après dans sa chambre d’hôtel. C’est Dalida qui découvrira le corps, et tentera à son tour de commettre l’irréparable.
C’était le temps des fleurs, 1968
La reprise d’une musique traditionnelle tzigane apparaît dans le 21ème album de la chanteuse. C’est un carton.
Il venait d’avoir 18 ans, 1973
Dans les années 1970, Dalida adopte un registre un peu plus tragique, qui ne change rien à son succès. Au contraire.
Paroles… Paroles…, 1973
Interprétée avec Alain Delon, la chanson a été traduite dans de nombreuses langues et reste une des chansons françaises les plus connues à l’étranger.
Gigi L’Amoroso, 1975
Disque d’or au Canada, vendu à 300 000 exemplaires en France, n°1 en Belgique et en Suisse …
Salma Ya Salama, 1977
Dalida reprend cette chanson composée par Sayed Darwich en 1919 en hommage à son pays de naissance, l’Egypte. La chanson parle de la nostalgie des exilés et de leur courage.
Laissez-moi danser (Monday, Tuesday), 1979
C’est l’un des plus grands tubes de Dalida, si ce n’est le plus grand. Relayé intensément à la télévision et à la radio, le titre s’écoule à plus de 400 000 exemplaires et à fait danser le monde entier durant l’été 1979.