Une arène, des anonymes et des gladiateurs. Lors de sa conférence de rentrée, TF1 a annoncé l’arrivée d’un nouveau jeu. Il sera animé par un duo d’animateurs, Denis Brogniart et Hélène Mannarino. « American Gladiators », jeu culte diffusé dans les années 1990 au Royaume-Uni et aux Etats-Unis a inspiré la version française de « Gladiators ».
Ce jeudi 27 juin, devant un parterre de journalistes, TF1 a annoncé les nouveautés lors d’une conférence de rentrée. Parmi les nouveautés à venir, un nouveau jeu d’action au croisement entre « Ninja Warrior » et « Intervilles » va faire son arrivée. « Gladiators » est une grosse production dans laquelle des anonymes vont se « battre ». Ils se « battront » contre des gladiateurs que la chaîne qualifie de supers humains.
« Des challenges XXL »
« Gladiators » est un jeu culte diffusé au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, dans les années 90. TF1 diffusera le jeu en France pour la première fois la saison prochaine. Dans une interview accordée à Puremedias, Fabrice Bailly, directeur des programmes et des acquisitions du Groupe TF1, explique le concept de cette nouvelle émission : « Des anonymes plutôt sportifs vont affronter de supers humains, les gladiateurs, au cours de challenges XXL dans une immense arène pouvant accueillir jusqu’à 1 500 personnes. ».
Pour incarner le nouveau programme, la chaîne et la production ont choisi un duo d’animateurs : Denis Brogniart et Hélène Mannarino. Dans la version américaine, les anonymes jouent afin de remporter une somme de 100 000 dollars. Ils remportent aussi une Toyota Sequoia et une place pour devenir gladiateur, la saison suivante. En France, les candidats vont jouer pour des associations.
La version américaine de « Gladiators »
La version américaine comprend deux parties. La première partie est une série d’épreuves dans lesquelles les anonymes affrontent les gladiateurs. L’objectif étant d’accumuler le plus de points durant ces mêmes épreuves. La seconde partie, quant à elle, ressemble fortement à l’émission « Ninja Warrior ». Lors de cette finale, les deux derniers candidats doivent être le plus rapide possible en passant par un parcours du combattant. En France, la formule risque d’être légèrement différente.