Ce 1e octobre, le nouvel opus de la saga des « Troisième humanité » de Bernard Werber, dénommé « La voix de la terre », est disponible en librairie. Bernard Werber confirme ainsi qu’il est le seul en France à aussi bien manier le roman scientifique, style anglophone de base.
Une régularité tellement attendue. Lancé le 3 octobre 2012 avec « Troisième humanité », le nouveau cycle romanesque du même nom de Bernard Werber se poursuit en 2013, le… 2 octobre, avec « Les micro-humains« . Et comme par évidence, un an plus tard et un jour plus tôt, le 1e octobre 2014, avec son nouveau futur best-seller, « La voix de la terre ». Un nouveau cycle qui continue (et finit ?) à explorer le futur de l’être humain dans sa taille future : en effet, pour Bernard Werber, l’homme est voué à se miniaturiser pour survivre. Une plongée dans le plus petit que soi, qui avait fait le succès de Bernard Werber avec son cycle des « Fourmis ».
Pourquoi Bernard Werber passionne-t-il autant les lecteurs français ? Car il pose des questions existentielles sur l’humain, son comportement relatif à sa planète, et imagine les conséquences de celui-ci dans un cadre réaliste. Même cloisonné dans les barrières du roman, « La voix de la terre » possède une portée réaliste qui peut même nous faire croire que la Terre est dotée de conscience, hypothèse déjà grandement évoquée dans les deux premiers tomes de cette saga.
À très vite se procurer pour les fans de Bernard Werber et ceux qui souhaitent s’y convertir. 22,90 € chez Albin Michel. Bernard Werber sera en dédicace le 2 octobre pour son nouveau roman à la librairie Saint-Michel, à Paris.
