Un écran noir puis un mystérieux signal « Error 404 » est apparu sur les réseaux de l’influenceuse Ophenya. Avant une résolution ce dimanche 14h.
Une semaine « compliquée » et une déconnexion des réseaux
Les semaines se suivent pour Ophenya prise entre ses fans d’un côté et ses haters de l’autre qui se livrent à un vrai acharnement contre l’influenceuse (tout en se servant de sa notoriété pour le buzz, y’a pas de petits profits). Mais l’ignominie a atteint des sommets quand certains ont invité la jeune femme à rejoindre son frère (décédé). Il faut être fort pour résister à un tel déluge qui comme souvent (on l’a vu aussi avec Léna Situations) ne frappe que les femmes qui réussissent.
Si vous avez des choses à lui reprocher, ne faites pas des vidéos, ne vous prenez pour des justiciers de TikTok, allez voir les autorités compétentes. Mais pas de harcèlement !
On peut ajouter à cela une participation à The Voice qui n’a pas été diffusée et il n’en a pas fallu moins à l’apparition sur les réseaux de la jeune femme d’un écran noir, puis du signal « Error 404 » pour susciter de nombreuses questions.
Un nouveau défi pour Ophenya
Comme c’est souvent le cas, Ophenya a choisi de décorréler les actes de ses haters de ses propres projets. Elle a juste tenu à réagir dans un post sur TikTok et rappeler que tout n’est pas possible même sous couvert d’anonymat (qu’il s’agisse de Ophenya comme de toute personne victime de cyberharcèlement) : « Je ne suis pas là pour être aimé mais faire ce que j’aime que ça plaise ou pas. »
Mais en choisissant ce moment pour dévoiler son nouveau projet, elle affiche clairement les choses : leurs actes ne l’empêcheront pas d’avancer… et de relever de nouveaux défis. « Error 404 » n’est pas le signe qu’elle a perdu face aux haters mais simplement son nouveau projet, son premier titre comme chanteuse : « Cette chanson est une ode contre les violences conjugales. Une spirale infernale qui enferme beaucoup de femmes dans la torpeur du huis clos. La violence ne se résume pas aux violences physiques, les violences psychologiques sont les plus difficiles à repérer. Le combat est perpétuel. Une prise de parole est nécessaire, qui je l’espère aidera d’autres personnes à sortir de cette prison de maux. Il n’est jamais trop tard pour dire stop.«
On rappelle aussi qu’on a le droit de ne pas aimer, de critiquer artistiquement un projet dans la mesure où il est public. Ce qui est interdit c’est d’harceler quelqu’un, aussi connue soit-elle. Si vous le faites, c’est vous l' »Error 404″.