Après le carton Surface, France.TV vient de lancer sa nouvelle série « La vallée fracturée » écrite par Michel Bussi (Rien ne t’efface).
Bussi : un habitué de la télévision
Les adaptations littéraires trouvent de plus en plus de place sur nos écrans. En témoigne le carton de la rentrée sur France.TV, Surface, adaptée du roman d’Olivier Norek. Elle explose tous les records et la chaîne annonce que la série sera disponible jusqu’en mars 2026.
Dans le même temps, TF1 a adapté Rien ne t’efface de Michel Bussi, un auteur habitué des séries télé sur différentes chaînes avec plus ou moins de succès. On se souvient de Le temps est assassin sur TF1, Maman a tort sur France 2 ou Comme un avion sans ailes sur M6. Michel Bussi est ce qu’on appelle un auteur populaire en librairie et qui donne des séries populaires à la télévision. Une transposition réussie dirait-on !
La vallée fracturée : un roman de Michel Bussi ?
Avec cette nouvelle série, France Télévisions espère réitérer le succès de Surface, voire même le dépasser on ne sait jamais. Cette série est créée par Michel Bussi donc et Christian Clères et réalisée par Elsa Bennett. C’est en quelque sorte une « fausse » suite d’une autre mini série de France 2 (que nous avions plutôt aimé à la rédaction), L’île prisonnière diffusée en février 2023. Soit une grande série d’action dans un lieu presque clos entraînant une galerie de personnages dans une aventure extra ordinaire.
Mais la différence principale avec les séries mentionnées plus haut est que La vallée fracturée comme L’île prisonnière est une création originale de Michel Bussi et non une adaptation d’un roman : « Après le succès de L’île prisonnière, nous souhaitions retrouver une série d’action tournée dans des espaces grandioses, avec des personnages ordinaires confrontés à une situation de résistance extraordinaire. »
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Le village de Salvérac, au cœur d’une vallée encaissée, est menacé par un projet de forage de gaz de schiste. À l’origine de l’entreprise : Charles Kaskia, un ingénieur multimilliardaire, associé au consortium international SETH, qui finance le projet. Le village est divisé entre ceux qui soutiennent ce projet, et les autres qui s’y opposent fermement. Ces derniers sont menés par la maire du village, Floriane Bourdieu.
Floriane va tout faire pour empêcher ce forage en s’exposant au pire des menaces des industriels, aidée par l’ingénieur Pierre Donjon.