Le combat des chefs est le succès de ce printemps qui assure le retour de Alain Chabat dans la vie du plus célèbre gaulois, Astérix.
Pas de saison 2 mais un nouveau pari ?
L’idée d’une suite au Combat des chefs semble peu probable car l’adaptation a terminé l’histoire et dans la BD il n’en existe pas. Donc malgré le succès, il ne semble guère possible d’imaginer cette suite. Mais Alain Chabat pourrait être tenté par un nouveau pari : adapter et terminer l’album « Astérix au cirque » que Goscinny avait commencé à fabriquer juste avant sa disparition en 1977. Cet album a été authentifié par la fille de Gosninny et elle voudrait que ce soit Chabat qui le finisse.
« Pourquoi pas ? Comment dire, c’est au-delà de la responsabilité. C’est très intimidant, mais j’ai des idées d’histoires », a-t-il confié à Ouest France. « Personne ne sait où René Goscinny voulait aller. Ce ne sont pas trois pages qui résument l’histoire mais vingt écrites sans rature, l’une après l’autre. Il n’y a que lui qui savait où il avait envie d’aller donc il y a plein de pistes possibles. »
Le combat des chefs toujours dispo
En attendant, découvrez Le combat des chefs, dispo depuis le 30 avril sur Netflix et qui cartonne en ce printemps.
Le dernier village indépendant de la Gaule, la patrie d’Astérix et Obélix, doit sa supériorité face aux Romains à une potion magique, mais lorsque le Druide qui fabrique leur potion perd la mémoire, les villageois sont livrés à eux-mêmes face à la puissance de Rome.
« Le combat des chefs est tout simplement ce qu’on appelle une démonstration de ce qu’l fallait faire. La série ne souffre plus d’aucun temps morts, ne cesse de monter en puissance épisode après épisode pour ne plus jamais nous lâcher. Elle se montre non seulement ultra généreuse mais aussi ingénieuse, drôle, ultra référencée sans donner l’impression de se répéter et de reprendre ce qui a fait le sel de Mission Cléopâtre. Mieux, la série est dans une réinvention permanente et enchaîne les moments de bravoure. Le public en a tout le temps vulgairement pour son argent. » (extrait de notre critique sur VL).