Actuellement à l’affiche de la série « Mercato » sur TF1 au côté d’Arnaud Ducret, Manon Azem a fait une révélation concernant son départ de la série « Section de recherches ». Une série dans laquelle elle s’ennuyait et qui était d’après elle un peu trop « plan-plan » à son goût.
Avant d’incarner son premier rôle au cinéma dans le film « Gangsterdam » avec Kev Adams, Manon Azem incarnait le rôle de l’adjudant Sara Casanova dans la série « Section de recherches ». Un rôle qu’elle a incarné de la saison 7 à la saison 11 avant son départ en 2017. Lors d’une interview avec Siham Bengoua, le 1er avril dernier, Manon Azem a largement expliqué ce qui l’a poussé à quitter la série.
« Je venais de quitter « Section de recherches » qui était une série un peu plan-plan. » explique-t-elle, avant de poursuivre : « Je ne crache pas dessus, ça m’a tout appris. J’ai appris mon métier en tant que comédienne, j’ai appris la lumière, le placement, tout… Mais j’en avais fait trois ans et j’en avais marre de jouer le même rôle, de dire les mêmes choses. C’était insupportable pour moi. A un moment donné, t’es comédienne, tu as envie de faire d’autres choses. J’avais toujours les mêmes dialogues avec juste l’horaire de la mort et le nom du mort qui changent mais sinon c’est toujours pareil.«
« Tout le monde m’a dit : Tu fais une erreur »
Lorsqu’elle a annoncé son départ, Manon Azem déclare dans l’interview que certaines personnes lui en auraient « voulu » et que d’autres lui auraient déconseillé de faire ce choix : « Ca a été difficile parce que toute la production m’en a voulu, les comédiens,… Tout le monde m’a dit : Tu fais une erreur. Même ma mère m’a dit : Tu es en train de faire une erreur. », souligne-t-elle.
La comédienne âgée de 25 ans à l’époque a préféré écouter son instinct et a donc pris la décision de quitter la série. Elle se souvient d’ailleurs que deux semaines avant la fin du tournage de « Section de recherches« , elle avait été retenue pour incarner son premier rôle au cinéma dans le film « Gangsterdam ». Apaisée et en guise de belle conclusion, elle tire la leçon de devoir toujours s’écouter et se faire confiance.
