À la uneActualitéFrance

The American Business School of Paris : les solutions face au confinement

Comme toutes les autres écoles et universités, The American Business School of Paris subit les effets du confinement. Tous les étudiants, ainsi que le reste des français doivent rester chez eux suite à la pandémie de coronavirus. Pour palier à cela, cet établissement a mis en place divers dispositifs afin de rendre accessible les cours sur internet pour tout le monde. Que cela soit pour les étudiants étrangers, comme français.

Membre du groupe IGS, The American Business School of Paris accueille normalement ses étudiants en présentiel. Ce n’est plus le cas officiellement depuis le 10 mars dernier avec les restrictions d’Emmanuel Macron lors de son allocution un jour plus tôt. Pourtant, l’école a pris de l’avance sur la plupart de ses concurrents. Dès le 24 février, une cellule de crise a été ouverte pour penser les protocoles qui seront de mise face à l’évolution du Covid-19. Le but ? Penser à l’américaine, c’est à dire développer un système de cours en distanciel aussi performant que dans les pays anglo-saxons. Ainsi, Fady Fadel, directeur de l’établissement assure vouloir proposer aux étudiants autant de qualité à la maison que s’ils avaient la possibilité de se rendre en classe.

Les moyens mis en œuvre

The American Business School (ABS) se trouve 12 rue Alexandre Parodi – 75010 – Paris

Pas facile d’assurer un enseignement de qualité quand la barrière entre le prof et l’élève est un ordinateur. Pourtant, plusieurs dispositifs ont été mis en place par l’établissement afin de permettre un bon déroulement de l’année scolaire. Des logiciels comme Teams de Microsoft, Zoom, Blackboard ou encore certains des outils Google sont utilisés pour permettre aux étudiants de suivre leur cursus scolaire. D’autres applications internes sont aussi mis à disposition afin de compléter celles vues précédemment. Tout ce système permet de garantir à tout un chacun un apprentissage complet, à condition de laisser place à plus d’autonomie. Selon Fady Fadel, « les étudiants Français ont plus de mal à se prendre en charge que dans les pays anglo-saxon ».

Les différences notables entre les pays anglo-saxons et la France

La manière d’étudier varie selon les régions du monde. Pour les canadiens et les américains, un étudiant travaillera ses cours avant même d’avoir ces derniers. Cela lui permet de poser des questions directement à l’intervenant et d’approfondir quand il est à l’école. Un Français, lui, découvrira le thème abordé une fois qu’il fera face à son professeur. Après sa journée de cours, c’est là qu’il va les retravailler. Cette différence constitue un réel écart d’autonomie entre ces deux types d’étudiants.

De plus, les dispositifs sont plus élaborés chez les nord-américains. Les pays sont grand et donc certaines personnes n’ont pas la possibilité de se déplacer afin de se rendre à l’école. C’est pourquoi, afin de donner une chance à tout le monde, les cours en distanciel sont légions et sont optimisés depuis un bon moment dans ces pays. La France qui n’a clairement pas l’habitude avec ces pratiques a dû réagir très vite face à la vague de coronavirus qui allait arriver.

Comment se passe les cours pour les étudiant de The American Business School of Paris ?

Même si les dispositifs mis en œuvre sont exceptionnels, il n’entache en rien la progression des étudiants dans leur cursus selon Fady Fadel. « Sur les 800 étudiants, le tiers, se sont des américains. Pour la plupart, ils sont repartis dans leur pays suite à l’allocution de Donald Trump. Avec le décalage horaire ce n’est pas facile. C’est pourquoi les cours en ligne sont pas forcément en direct. Il est difficile d’avoir tous les étudiants en même temps ».

De plus, l’établissement a aussi des relations avec plusieurs entreprises dans le monde. Un stage est donc obligatoire afin de valider son année en cours. Avec le coronavirus, la plupart des stages sont compliqués voire impossible à réaliser. C’est pourquoi, The American Business School of Paris préconise le télétravail. Dans le cas où il y a eu des ruptures de contrat, un travail supplémentaire sera donné afin de valider ce stage. En d’autres termes, dans tous les cas, l’école à trouver des solution afin de palier et surmonter cette crise sanitaire.

Comment intégrer cette école américaine ?

Vous l’avez compris, pour endiguer la pandémie, un seul mot d’ordre : « confinement ». Les écoles l’ont bien compris et assurent la continuité du programme scolaire et d’apprentissage à distance. The Americain Business School of Paris a essayé de se rapprocher un maximum des Américains qui sont à la pointe de cette pratique.

Fady Fadel, directeur de the American Business School

Si vous souhaitez vous inscrire dans cet établissement, c’est possible, même par les temps qui courent. Les futurs étudiants sont admis selon un entretien oral qui se fera en visioconférence pour respecter les mesures du gouvernement. Pour donner sa chance à tout le monde, un semestre de remis à niveau en anglais est offert. Pour les personnes qui ont été accepté dans un établissement partenaire américain, ils ont la possibilité de faire lerus études, ici, à Paris dans le cas où la vague épidémique ne soit pas parti sur le continent nord-américain. Les crédits obtenus pendant le semestre/l’année effectué seront transférable dans l’établissement d’admission d’origine, ou bien dans une autre école partenaire. Alors n’attendez plus ! Rejoignez Fady Fadel et son équipe pédagogique !

Related posts
À la uneEquitation

5 films cultes à voir pour les amoureux des chevaux

À la uneSpectacles

C’est quoi Gladiators, le nouveau jeu de TF1 ?

À la uneSéries Tv

"Il était deux fois" : une adaptation de Franck Thilliez pour France Télévisions

À la uneSéries Tv

La plateforme MAX annonce deux nouvelles séries françaises

Retrouvez VL. sur les réseaux sociaux