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5 éléments pour comprendre… l’histoire vraie du « Happy Face Killer »

À l’occasion de la sortie de la série Happy Face sur Paramount+, retour sur l’histoire glaçante de Keith Hunter Jesperson, le tueur en série qui signait ses aveux d’un simple smiley.

La nouvelle série dramatique des studios CBS débutera avec deux épisodes le vendredi 21 mars en exclusivité sur Paramount+. Inspirée du podcast true crime éponyme, Happy Face met en vedette Annaleigh Ashford, Dennis Quaid, James Wolk et Tamera Tomakili.

Basée sur l’histoire vraie de Melissa G. Moore, la série suit Melissa (Annaleigh Ashford) et son père incarcéré, connu sous le nom de Happy Face Killer (Dennis Quaid). Après des années de silence, il tente de reprendre contact avec sa fille. Mais un drame se profile : un homme innocent risque l’exécution pour un crime qu’il n’a pas commis. Melissa doit alors plonger dans l’horreur du passé de son père pour découvrir la vérité.
Mais qui était réellement Keith Hunter Jesperson, le véritable Happy Face Killer ? Voici cinq éléments pour comprendre son histoire.

Un passé violent

Né en 1955 au Canada, Keith Jesperson grandit dans une famille brutale. Son père le bat, ses camarades le harcèlent. Très jeune, il développe un goût inquiétant pour la cruauté, notamment envers les animaux. Un signe avant-coureur fréquent chez les tueurs en série.

Un camionneur insoupçonnable

Dans les années 80, Jesperson devient chauffeur routier aux États-Unis. Un métier idéal pour un tueur : toujours en mouvement, toujours ailleurs. Il s’attaque principalement à des femmes vulnérables, souvent des travailleuses du sexe, qu’il rencontre lors de ses trajets.

Des meurtres brutaux et méthodiques

Entre 1990 et 1995, il tue au moins huit femmes. Son mode opératoire est effroyable : il les étrangle à mains nues, un acte qu’il considère comme « personnel ». Mais dans ses lettres anonymes, il revendique plus de 100 meurtres… Mythe ou réalité ?

Des aveux anonymes… signés d’un smiley

Furieux du manque de médiatisation de ses crimes, Jesperson décide de jouer avec la police et la presse. Il envoie des lettres où il détaille ses meurtres et les signe d’un visage souriant. C’est ainsi qu’il devient Happy Face Killer.

Une arrestation tardive mais décisive

En 1995, il est finalement arrêté après le meurtre de sa petite amie, Julie Ann Winningham. Acculé par les preuves, il avoue plusieurs assassinats. Condamné à la prison à perpétuité, il purge toujours sa peine en Oregon.
Un monstre insaisissable, une soif de reconnaissance macabre, une fille tentant d’échapper à l’ombre de son père… L’histoire de Happy Face Killer continue de fasciner et d’effrayer.

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