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C’est quoi Fubar, la série avec Arnold Schwarzenegger sur Netflix ?

Aujourd’hui, “Fubar” arrive sur Netflix. Arnold Schwarzenegger fait son come back dans une série, une première pour l’acteur de cinéma d’action.

A 75 ans, Arnold Schwarzenegger joue pour la première fois dans une série Netflix. Fubar (acronyme américain que l’on pourrait traduire par « foutu au-delà de toute réparation ») est une mini série d’espionnage de 8 épisodes ( de 50 minutes en moyenne). Elle a été écrite par Nick Santora (créateur de Scorpion) et co-produite par Arnold.

Le synopsis est le suivant : Quand un père (Arnold Schwarzenegger) et sa fille (Monica Barbaro) découvrent qu’ils travaillent secrètement au sein de la CIA depuis des années, ils réalisent qu’ils ne se connaissent pas. Contraint de faire équipe, ce duo improbable est embarqué dans de dangereuses missions sur la scène de l’espionnage international.

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Âgé de 75 ans, Arnold Schwarzenegger est le héros de la série. Une première pour l’acteur qui n’est peu que familier aux séries. A noté que la star du cinéma avait tout de même fait de rares apparitions dans des vieux feuilletons tels que Les Rues de San Francisco ( 1972 ) ou plus récemment dans le sitcom Mon oncle Charlie (2003). 

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Pour ce qui est du casting, le culturiste est notamment accompagné de Monica Barbaro qui joue sa fille. A leur côté, Travis Van Winkle dans la peau du génie de l’informatique Barry, ou encore de l’humoriste Forthune Feimster (Dear White People) dans le rôle de la brute de décoffrage Ruth. La série réunit également Jay Baruchel, Andy Buckley,Barbara Eve Harris, Milan Carter, Gabriel Luna, Aparna Brielle, ou encore Fabiana Udenio.  

Netflix précise que la série aborde une « dynamique familiale universelle sur fond d’espionnage, d’action et d’humour »

Des critiques mitigées

Les critiques sont pour le moment mitigées. Si pour allo ciné, “Fubar ne parvient pas à trouver le bon équilibre entre la comédie et l’action. Les épisodes sont beaucoup trop longs (50 minutes en moyenne), et les dialogues paresseux et lourdingues”, pour Numerama « On commence Fubar avec l’envie de débrancher son cerveau devant des explosions et des bastons de gros bras, mais on reste plutôt pour l’ambiance bon enfant qui s’en dégage » « On adore entendre les punchlines savoureuses de ces deux clichés ambulants ».

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