Actuellement au cinéma, Pixar présente son nouveau film. Embarquez pour un voyage intergalactique avec Elio, un orphelin fan des aliens.
Dans une galaxie lointaine, très lointaines…
Ce 29ème film signé Pixar est à la hauteur des précédents. Le synopsis officiel parle de Elio, un garçon de 11 ans rêveur et passionné d’espace, peine à trouver sa place sur Terre. Mais sa vie bascule lorsqu’il est mystérieusement téléporté dans le Communiverse — une organisation intergalactique rassemblant des représentants (aussi étranges que fascinants) de galaxies lointaines.
Pris par erreur pour l’ambassadeur officiel de la Terre, il se retrouve propulsé au cœur d’une mission aussi périlleuse qu’extraordinaire. Heureusement, il pourra compter sur Glordon, un extraterrestre aussi loufoque qu’attachant, et sur sa tante Olga, qui veille sur lui depuis la Terre. Au cours de cette aventure hors du commun, Elio devra prouver qu’il est le digne représentant des humains tout en découvrant qui il est vraiment et où se trouve sa place.
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De nouveaux personnages
Le nouveau personnage principal de ce film est Elio. Tout juste 11 ans, il semble rêveur, sensible et introverti. Elio est le cœur émotionnel du film. Il représente l’enfant marginalisé qui cherche sa place dans le monde, ou dans la galaxie.
Très vite, il va se lier d’amitié avec Glordon, un extraterrestre très surprenant. Tout au long du film, il sera son compagnon de route et un guide un peu comique. Très mignon et rempli de sagesse, l’extraterrestre marque un contraste avec Elio vus comme l’introverti de la bande.
Enfin, les plus hautes responsabilités sont gérées par Olga Solis. Elle est la tante de Elio. Très Montessori, elle essaye d’éduquer Elio sans l’oppresser tout en acceptant ses émotions. Olga fait ce lien entre la science et l’affection : le besoin d’exploration.
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Pixar mise tout sur la tolérance
Des extraterrestres hauts en couleur et un sentiment de différence si accrocher à la peau. Pixar cultive une enquête approfondie autour de la place des différences dans le monde. Il faut aussi savoir accepter ses propres défauts et savoir les reconnaître.
Bien que le scénario soit qualifié de « bateau », les visuels et l’animation sont tout simplement à couper le souffle. Elio incarne le parcours d’acceptation de soi. Un thème fort chez Pixar déjà repris à travers Luca ou Vice-Versa. On finit par comprendre que ce qui était une faiblesse devient une force.
Le film jongle entre des scènes bien drôles et des scènes beaucoup plus touchantes. On peut ainsi rire de situations mais aussi de sentiments.