Née en 2005, Lucie Pottier est une jeune femme ambitieuse. À son jeune âge, elle se donne déjà les moyens de réussir pour réaliser son rêve : ouvrir une pâtisserie française à l’étranger.
Son plus beau rêve d’enfance remonte aux fois où elle pêchait avec ses grands-parents en vacances avant de cuisiner tous ensemble. À seulement 18 ans, Lucie Pottier est sur le chemin de son rêve de petite fille. Actuellement en première année de Bachelor en management des services (BMS), parcours Gastronomie , à l’École Fauchon, la jeune Rouennaise possède une éducation élitiste. Passionnée de pâtisserie depuis son plus jeune âge, elle rêve d’ouvrir sa propre boutique/salon à l’étranger, aux États-Unis, où la pâtisserie française est très appréciée. Une étudiante parmi des milliers d’autres qui rêvent de grands projets et qui n’hésitent pas à traverser les frontières du pays pour mettre toutes les chances de son côté.
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Une passion familiale…
Lucie Pottier est attentive, soucieuse et passionnée. Entre la jeune femme et la pâtisserie c’est une véritable relation de sincérité qui règne. Si ses parents travaillent dans le milieu médical, sa passion pour la pâtisserie lui a été transmise par sa mère et sa grand-mère, avec qui elle passait tous les week-ends à cuisiner. Le plaisir d’offrir est une valeur qui s’est donc transmise de mère en fille. Il était donc naturel pour elle de perpétuer cette tradition. En suivant son cœur, Lucie Pottier a fait le choix de se consacrer à sa passion. Elle espère suivre les pas de Pierre Hermé, Amaury Guichon ou Alain Ducasse.
… qui devient un projet familial
Aux États-Unis, le savoir-faire français est admiré. Lucie espère ainsi, après ses études, ouvrir une pâtisserie avec des produits de qualité au pays de l’oncle Sam. Une aspiration depuis l’âge de 13 ans. Pour se démarquer, elle souhaite également y ajouter un salon où des brunchs seront proposés. Elle est convaincue que son label français et son savoir-faire artisanal seront des atouts majeurs pour se démarquer dans un marché très concurrentiel. Sa famille n’est pas inconnue face à ce projet. En effet, Lucie sera soutenue financièrement et moralement par ses parents. S’ils souhaitent investir dans le projet ambitieux de leur fille, ils sont également prêts à quitter l’hexagone pour la suivre en Amérique.
Les études à l’étranger : un tremplin vers l’international
C’est à l’École Fauchon, localisée à Rouen, que Lucie Pottier a trouvé la formation idéale pour concrétiser son rêve. L’école propose une formation complète dans toutes les matières de la gastronomie pour préparer les étudiants à devenir des professionnels de haut niveau, experts dans leurs domaines, créatifs et innovants dans les métiers de bouche et de service. Au-delà de ce programme, l’école Fauchon est également en partenariat avec Neoma Business School, une école de commerce qui lui permettra d’acquérir des compétences en management, indispensables à la réussite de son projet.
La pratique est essentielle pour s’enrichir professionnellement. Pour développer son activité, sortir de sa zone de confort est primordial. Dans le cadre de son stage de première année, Lucie a choisi de partir à Dubaï jusqu’à mi-juillet, une ville qui l’a intéressée par son luxe et son cosmopolitisme. Elle travaille actuellement au Sofitel Downtown, où elle est chargée de la production de pâtisseries. Ce stage lui permet de découvrir de nouvelles techniques, notamment celle du chocolat, et de se familiariser avec un environnement de travail international qui peut, à coup sûr, lui ouvrire des portes pour le futur. Toutefois, si Lucie parle couramment l’anglais, elle explique que ce n’est pas la langue la plus répandue à Dubai. Contrairement aux idées reçues, c’est l’Indien.
Lucie Pottier : entre détermination et inspiration
Ambitieuse, joyeuse et sociable ! C’est ainsi que se décrit Lucie Pottier. Elle est déterminée à réussir et à réaliser son rêve. Si son expérience à l’étranger est bénéfique pour valoriser son apprentissage, c’est aussi très avantageux sur le plan personnel. « Partir seule, ça me permet de me découvrir seule. Et puis je suis bien entourée, ça se passe bien dans ma colocation », s’est-elle enjouée. Si beaucoup ont peur de partir à cause de la barrière de la langue, Lucie assure que ça ne doit pas être un frein. L’immersion permet une amélioration du vocabulaire et de la conjugaison sans forcément en prendre conscience.
De ce fait, son ambition doit être une source d’inspiration pour tous. » Il ne faut pas se donner de limites, foncez et prenez les opportunités qui vous sont offertes. Moi c’est ce stage à Dubai. « , confie-t-elle. Ce conseil, Lucie Pottier l’adresse à chaque personne qui a un rêve d’enfant et qui souhaite le réaliser.