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« Johnny par Johnny » : 5 anecdotes à connaître sur la star de la chanson française

Ce mardi 29 mars sort la série documentaire posthume dédiée à la vie d’une star française mais aussi d’une vedette internationale : Johnny Hallyday.

Nous l’attendions tous et toutes avec impatience. « Johnny par Johnny« , la série posthume à l’effigie de Johnny Hallyday est sorti ce mardi matin sur la plateforme de streaming Netflix. Confessions, secrets, images d’archives… Ce documentaire, divisé en cinq épisodes d’une quarantaine de minutes chacun, nous transporte « dans l’intimité d’une légende » et cela dès son plus jeune âge. Cerise sur le gâteau, plusieurs de ses proches témoignent également : la chanteuse et actrice Line Renaud, son guitariste Yarol Poupaud, son ami proche Philippe Labro et le photographe Jean-Marie Périer. De quoi « rallumer le feu » des fans du rockeur le plus célèbre de France !

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C’est quoi Johnny par Johnny ? Cette série documentaire intimiste sur l’icône du rock raconte le chanteur et l’homme tel qu’il se voyait, à travers des interviews et des images d’archive inédites.

Loving You, le film de la révélation

Elvis Presley en a inspiré plus d’un, dont Johnny Hallyday. Alors qu’il n’a que trois ans, Jean-Philippe Smet (de son vrai nom) est recueilli par sa tante et son mari américain. À l’époque, le couple forme un duo musical appelé Les Halliday’s. Ils parcourent donc l’Europe accompagné du petit « Johnny », surnom donné par son oncle d’adoption. Ce dernier lui fait ainsi découvrir le monde du rock’n’roll.

Mais c’est à l’âge de 14 ans que les choses vont changer… En allant voir le film Loving You de Hal Kanter au cinéma, il découvre l’existence d’un autre homme : Elvis Presley. « C’était au cinéma Atomic qui était près de la Place Clichy. C’était le film Loving you. Je suis entré dans la salle parce qu’il était habillé en cow-boy, je pensais que c’était un western ! Et là, je vois un gars brun chanter un style de musique que je n’avais jamais entendue (…) J’ai été séduit et je me suis dit : c’est ça que je veux faire !« , déclarait-il dans un documentaire diffusé sur France 2, peu de temps après sa mort.

Mentir pour rendre l’histoire plus belle

Si Johnny reste un monument de la musique de par son talent, il a avoué avoir menti à plusieurs reprises pour « faire rêver« . « J’ai besoin de croire en mes mensonges pour arriver à les faire rêver (ses fans), à faire croire aux gens ce que je leur raconte« , avait-il admis. Fan de l’Amérique, en début de carrière, l’artiste n’a pas hésité à en abuser. Il laissait alors sous-entendre qu’il venait des États-Unis, qu’il était originaire du Texas, qu’il a rencontré à plusieurs reprises Elvis son idole…

Si on ne ment pas un petit peu pour embrouiller les gens, on n’y arrive pas.

Aucun passage par la case écolier

Aussi surprenant que cela puisse paraître, Johnny Hallyday n’a jamais mis les pieds dans une salle de classe. Il a passé son enfance à accompagner sa tante Desta et son mari Lee Lemoine Ketchman dans leurs tournées. C’était notamment lui qui occupait les spectateurs sur scène pendant les changements de costumes. Les seuls cours qu’il suivra seront par correspondance avec l’Ecole des Enfants du Spectacle.

Un fan de films d’horreur

La célébrité n’a pas toujours que du bon. Pour cause, la fille aînée de la star, Laura Smet, a longtemps souffert de l’absence de son père. Néanmoins, dès qu’elle le voyait, ils passaient beaucoup de temps ensemble. L’une de leurs activités favorites était de regarder des films d’horreur. « Oui, j’ai été élevée avec «Ça» de Stephen King, ou «Chucky la poupée de sang», que mon père m’avait offerte (…) C’était mignon, car il pensait que ça allait m’endurcir, alors que je réveillais ma mère à 3 heures du matin parce que j’avais envie de faire pipi et j’avais peur que la poupée me saute dessus !« , avouait-elle. Passionné lui-même, Johnny tenait particulièrement à lui faire découvrir cet art horrifique alors qu’elle était encore (trop) jeune.

Danseur classique pendant un temps

Avant de devenir le plus grand rockeur de France, le jeune Jean-Phillipe Smet a pratiqué la danse classique. Et pas à n’importe quel niveau, avait-il confié dans une interview à Télérama : « J’ai même été petit rat de l’Opéra (jeune élève de l’école de danse de l’Opéra de Paris, ndlr)« .

À lire aussi : 30 titres incontournables du répertoire de Michel Berger

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