L’ancien footballeur français Vikash Dorasso se présente à la mairie de Paris ! Une candidature qui en a surpris plus d’un. Pourtant, il n’est pas le premier sportif à s’être dans une carrière politique. Zoom sur ces athlètes engagés.
Lilian Thuram, la France black blanc beurre
Champion du monde 1998 avec l’équipe de France, Lilian Thuram crée sa propre fondation pour l’éducation contre le racisme en 2008. Il est connu pour ses positions affirmées sur certains dossiers politiques comme la constitution européenne et la lutte contre toutes les formes de discrimination. Thuram est reconnu aujourd’hui comme l’un des footballeurs les plus engagés.
David Douillet, du tatami au ministère
Certains comparent la politique a un sport de combat et c’est sans doute pour cela que David Douillet a excellé dans les deux domaines. Il s’investit dans la politique à partir de 2009, deux ans plus tard, il devient ministre des sports sous Nicolas Sarkozy.
George Weah, héros du Libéria
C’est le seul joueur africain a avoir remporté le ballon d’or, Georges Weah est une idole au Libéria. L’ancien footballeur est tellement adulé dans son pays qu’en 2017, il se présente aux élections présidentielles….et les remporte ! Seul sportif a être devenu président, l’ancien attaquant du PSG fait partie des sportifs les plus engagés de l’histoire.
Yannick Noah, aux arbres citoyens !
Il y a cinq ans, Yannick Noah sortait son album Combats ordinaires. Un album très engagé, avec notamment son coup de gueule contre le FN. En 2012, il soutient officiellement François Hollande, candidat socialiste à l’élection présidentielle. Il est également un fervent supporter de la cause écologiste.
Thierry Henry, militant anti-raciste
En 2004, après qu’un entraîneur espagnol l’a qualifié de « noir de merde », Henry est devenu un militant antiraciste. Il a depuis crée sa propre association : The One Four All pour lutter contre le racisme et les inégalités sociales.
Yohann Diniz, en marche !
Il est « en marche » dans son sport mais pas en politique ! A 14 ans seulement, Yohann Diniz adhérait aux Jeunesses communistes révolutionnaires. À 16 ans à la Ligue communiste révolutionnaire et s’est investi au sein de collectifs antifascistes d’extrême gauche pour lutter contre le Front national.